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Liste des produits par marque Château de Melin
L’Histoire du Château de Melin
A 12 KMS au sud ouest de Beaune, au cœur des vignobles, les tours à hautes toitures en ardoises du château de Melin dominent le hameau du même nom.
Construit en 1551 par la famille Rozereau, le château fut ensuite racheté par la famille Brunet de Monthelie à la fin du XVIIème siècle qui agrandit alors le château, en édifiant notamment un second logis face au premier, flanqué d’une aile en retour d’équerre reliant les deux constructions.
L’ensemble des trois bâtiments rectangulaires, dotés chacun d’une tour escalier, s’organise en fer à cheval autour d’une cour carrée.
En 1960, la Paroisse d’Aubervilliers devient propriétaire du Château et tous les étés fait revivre ce Château avec le père Lecoeur, des animateurs et une centaine d’enfants.
C’est en 1999 que la demeure est acquise par ses propriétaires actuels, Hélène et Arnaud Derats, qui réalisent alors une restauration totale du Château.
Parallèlement, ils reprennent l’exploitation viticole familiale, comprenant 22 hectares de vignes situés en Côte de Beaune et Côtes de Nuit.
Domaine du Château de Melin
Depuis la révolution française, six générations de viticulteurs se sont succédé.
Dans les années 30, Paul Dumay exploitait une dizaine d’hectares dans la vallée des Maranges.
À son décès en 1968, sa fille Marie-Claire Derats-Dumay et son époux Jean-Claude reprirent le Domaine Paul Dumay.
Entre 1970 et 1995, ils acquièrent de nombreuses petites parcelles en Côtes de Beaune et Côtes de Nuits, le domaine comprend alors 15 hectares.
En 2000, Arnaud, leur fils, d’une formation d’ingénieur et après 10 ans de carrière dans le BTP, fut rattrapé par la tradition.
Avec son épouse Hélène, ils achètent le Château de Melin , situé sur la commune d’Auxey-Duresses, et décident d’y installer la domaine familial viticole.
Le Domaine du Château de Melin exploite actuellement 22 hectares de vignes et produit ainsi 22 appellations : 20 en Côtes de Beaune et 2 en Côtes de Nuits.
La vinification se déroule encore dans la cuverie à Sampigny-les-Maranges.
Par contre, l’élevage des vins se fait dans nos chais au Château ainsi que la mise en bouteilles.
L’agriculture biologique
Il est essentiel pour qu’un vin soit de bonne qualité de respecter la vigne et son environnement. Elle exprimera alors pleinement les spécificités de son terroir au travers de ses raisins.
C’est pour cela, qu’en 2009, après quelques années de culture raisonnée, nous avons fait le choix de convertir le domaine à la culture biologique. Cette culture consiste à cultiver nos vignobles dans le respect de l’environnement, c'est-à-dire sans utiliser de pesticides, ni d’herbicides et ni de produits phytosanitaires chimiques. Cela signifie également, la culture du sol (labour), puis tontes de l’herbe et utilisation exclusive de soufre et de cuivre contre les maladies le la vigne.
Le but final étant d’obtenir des raisins de belle qualité, exprimant au mieux le terroir bourguignon.
Plusieurs fois par an, nous sommes contrôlés par un organisme certificateur indépendant : Ecocert.
Le premier millésime qui obtiendra le label « Bio » sera 2012.
Ils ont une fermeté toujours atténuée par le moelleux du Chardonnay.
Leur structure est à la fois élégante et solide.
Accompagne bien les escargots, les poissons subtils.
photo non contractuelle
Robe sombre, des arômes de fruits rouges frais dans leur jeunesse, de fruits confits et parfois de nuances aromatiques animales lorsqu’ils sont plus mûrs.
Leur saveur est ferme, relevée par une bonne acidité et des tanins très présents.
Bourguignon classique, il sera parfait avec une cuisine équilibrée, ni trop épicée, ni trop lourde.
Par son harmonie charmeuse et spontanée, il s’accorde avec les mets simples tels le filet mignon de porc, le veau ou le gigot d’agneau, accompagnés de petits légumes ou de gratins.
photo non contractuelle
Vin blanc puissant de couleur or aux reflets verts, avec des arômes d’acacia et noisette, une minéralité bien marquée bien que le boisé apporte du toasté.
Accompagne admirablement la volaille, le veau. Se consomme avec les poissons nobles et même le saumon.
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Arômes nobles très racés : pâte d’amandes, fougère, fruits exotiques, ambre, fleurs blanches.
En bouche, leur acidité est plutôt discrète, laissant s’exprimer un moelleux intense, une persistance impressionnante et une bonne minéralité.
Demande des mets délicats, aussi à l’aise sur une volaille en sauce, un veau poêlé aux champignons qu’avec du foie gras ou une langouste grillée.
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Bouquet très capiteux, typé amande amère ou sèche, feuillage, croûte de pain chaude, pomme reinette.
Ils sont, en bouche, très consistants avec un moelleux abondant qui touche à l’onctuosité.
Leur persistance est très longue.
Un vin blanc gras par excellence, l’équilibre entre l’onctueux et la fraîcheur décline tous les registres de la soie.
Accompagne parfaitement une pièce de veau ou de volaille en sauce blanche.
Mieux encore avec les crustacés grillés.
Sur le foie gras avec quelques années.
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Robe jaune pâle brillante.
Nez légèrement boisé, soutenu par le fruit.
Bouche ample et souple, bel équilibre et finale persistante.
Accompagne parfaitement les crevettes et poissons en sauce épicée, et aux gratins de fruits de mer.
Il se marie parfaitement avec les gruyères et les pâtes persillées.
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Modèle d’élégance et de finesse, d’une robe moyennement colorée, ils libèrent des arômes volumineux de framboise, de fraise confite, de violette, de sous-bois.
Leur corps est marqué par les tanins fins associés au moelleux.
Peu acides, ils s’imposent par leur charnu.
Son profil associant puissance et féminité, on lui donnera des viandes goûteuses et sophistiquées comme le gibier à plumes, en sauce par exemple, un chapon de Bresse ou un agneau longtemps rôti.
Idem avec le veau rôti, dont la fibre subtile sera délicatement enrobée par les tanins soyeux mais denses des Chambolles.
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Très colorés, d’une expression aromatique intense évoquant les baies de cassis et autres petits fruits rouges ou noirs, les notes animales de musc et de fourrure, et souvent la réglisse lorsque le vin a mûri.
Ils sont puissants, associant à leurs tanins un moelleux toujours abondant et une acidité de bon niveau.
Dans l’ensemble, ce sont des vins solides.
Massifs et pourtant veloutés, ses tanins lui donnent une étoffe et une carrure solide, puissante et de grande longévité.
Vin pour carnassiers, le Gevrey-Chambertin opte pour le gibier, en raison de ses notes giboyeuses, surtout pour les vins évolués.
Côte de bœuf, agneau braisé ou en sauce brune, gibier à plumes ou à poils, il s’associe à toutes ces viandes musquées et aux fibres solides.
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Les terrains calcaires assez argileux donnent aux" POMMARD" des qualités assez originales : beaucoup de couleur, rouge noir profond ; bouquet intense et violent de cassis, de musc et de chair de gibier (lièvre) ; saveurs longuement dominées par l’astringence, mises en relief par une acidité bien marquée et un moelleux qui n’apparaît que lorsque le vin accuse un minimum de maturation.
Ce vin très ferme est l’un des plus tanniques des crus de Bourgogne
Cet illustre représentant de la Côte de Beaune se régale avec les viandes sauvages, car ses tanins sont massifs et denses.
Gibiers à poils et à plumes, braisés, ou rôtis trouveront dans le Pommard, un interlocuteur indispensable.
Les pavés de bœuf, l’agneau ou les volailles en civet apprécieront aussi la texture ferme de ses tanins.
Tanniques, bien charpentés.
Ils ont des parfums de fruits (amande et fraise).
Châtaignes et pruneaux caractérisent les vins vieux.
Souple et intense en attaque, son registre aromatique se révèle distingué en finale.
C’est pourquoi on l’associera avec les plats mitonnés comme le veau et le bœuf braisé, que ses tanins vont structurer en bouche sans agression.
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Belle couleur or pâle aux légers reflets verts.
Un nez aux notes citronnées, pomme verte,
Belle persistance aromatique en bouche.
Robe sombre, des arômes de fruits rouges frais dans leur jeunesse, de fruits confits et parfois de nuances aromatiques animales lorsqu’ils sont plus mûrs.
Leur saveur est ferme, relevée par une bonne acidité et des tanins très présents.
Bourguignon classique, il sera parfait avec une cuisine équilibrée, ni trop épicée, ni trop lourde.
Par son harmonie charmeuse et spontanée, il s’accorde avec les mets simples tels le filet mignon de porc, le veau ou le gigot d’agneau, accompagnés de petits légumes ou de gratins.
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