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Une histoire de famille...
Trois vignerons, une longue transmission pour un domaine qui évolue au grée des générations.
D’Adrien qui découvre Le village de Campsas en 1930 et qui achète une exploitation au lieu-dit « Boujac », à Albert qui s’y installe avec sa famille dans les années 70, et enfin à Philippe qui reprend le flambeau en 1988, ce n’est pas moins de trois générations qui sont devenues les différentes pierres angulaires du domaine.
Chacun à leur tour, et à leur façon ils vont donner naissance à Château Boujac.
Situé aux portes de Toulouse, notre Domaine s’étend aujourd’hui sur 30 hectares de vigne et deux hectares d’oliviers et nous souhaitons désormais perpétuer le savoir acquit au fil des années et façonner le vignoble à notre image.
Soucieux de respecter cette terre qui nous a été confiée, nous engageons une conversion à l’agriculture biologique en 2008.
Il y a maintenant 10 ans que notre vignoble est certifié bio, Le cahier des charges d’un tel engagement est bien garni, mais nous conforte dans notre désir de travailler en accord avec l’environnement et d’apporter un autre regard sur chacune de nos parcelles.
Au quotidien nous avons dû réapprendre notre métier, ce qui nous amène à envisager une adaptation de nos pratiques culturales et de vinification.
Cette année une nouvelle aventure nous attend, après trois ans de formation et de tests grandeur nature qui nous ont permis de constater les incidences positives sur nos propres parcelles, une nouvelle aventure nous attend : la biodynamie.
Un peu d’histoire...
Le vignoble de Fronton est très ancien, puisque ce sont les Romains qui plantèrent les premiers ceps de vigne sur les terrasses dominant la vallée du Tarn.
Mais c’est au XIIe siècle que ce vignoble prit un virage historique en accueillant alors le cépage “Négrette”.
À cette époque, les vignes étaient la propriété des Chevaliers de l’Ordre de Saint Jean de Jérusalem.
Ce sont eux, sur le chemin d’une de leurs croisades, qui découvrirent et rapportèrent de Chypre un cépage local, le Mavro (”noir” en grec).
Les chevaliers implantèrent ce cépage dans leurs commanderies d’Occident, dont celle de Fronton.
Au fil des ans, le Mavro devint négrette et fût à l’origine de la typicité des vins de Fronton, seul terroir en France où ce cépage se soit parfaitement et durablement acclimaté.
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